Moustapha Cissé LO, selon toute vraisemblance, apparaît définitivement comme un cas clinique d’envergure sur lequel ne devraient pas tarder de se pencher les psychanalystes. Car, même si on savait le monsieur très prompt à régler ses comptes avec ses "ennemis" par l’invective, il était tout de même difficilement imaginable qu’il puisse se permettre, à l’occasion, de mettre le feu sur la Toile par des incendies verbaux de cette fréquence et de cette proportion. Mais plus navrant encore est le fait que dans son exercice immoral de tirs de "missiles", Cissé LO a perpétré, en toute connaissance de cause, un terrible blasphème consistant à associer, dans un même élan fulminatoire, versets de Coran, noms de saints hommes et injures d’une rare violence.
On peut légitimement se demander aujourd’hui où est la place de la postérité dans l’étroite conscience de ce monsieur, qui surfe avec une désinvolture déconcertante sur les vagues de la schizophrénie. Que doit-il aux générations futures ? Un grand respect. Que leur en a-t-il donné ? Rien ! C’est de la pure traitrise de sa part.
Il est vrai qu’à analyser froidement la complexité qui sous-tend la météo des compagnonnages politiques, on peut lui reconnaître le droit d’être mécontent, d’en vouloir de temps à autre à des militants de la 25e heure, et même de lustrer, avec un brin d’ostentation, les traces de son adhésion suicidaire à l’idéal politique du "Macky", à un moment où c’était encore si peu évident d’afficher sa proximité avec le futur choix des Sénégalais. En revanche, nous ne pouvons absolument pas valider ce choix délibéré de profiter du lâche confort qu’offre la libre expression sur la Toile pour casser des fosses septiques sur des identités partisanes remarquables, fussent-elles celle d’un... " Fourberie" NGOM.
Cissé LO, à n’en pas douter, est allé trop loin. Il a manifesté la même boulimie transgressive que les Surréalistes, qui osèrent proclamer, dans les années 20, le "crépuscule des Idoles ", en ces termes : " Nous voulons tout, et le reste". Et si lui, "El Pistolero", faisait partie de la race des têtes brûlées capables de se surpasser pour entendre raison en ces moments sombres où sa langue trop mal sculptée par le Diable se dresse rageusement contre le flanc le plus éclairé de notre conscience collective, nous lui aurions rappelé que toute la pyramide de sacrifices qu’il déclare avoir consentis pour le " Macky" ne résiste pas à ce monstrueux orage d’insanités contre-saison qu’il s’est permis de déverser sur la Rue publique. Car, de toute façon, l’homme Macky qu’il a vaillamment soutenu à sa démission fracassante du PDS en 2007 est " mort". Celui devenu président de la République l’a " tué". Et on ne doit pas chercher à prendre en otage un chef de l’État. Fut-il ce garçon morveux avec qui vous avez usé vos culottes sur les bancs de l’école.
njaydakarposte@gmail.com
On peut légitimement se demander aujourd’hui où est la place de la postérité dans l’étroite conscience de ce monsieur, qui surfe avec une désinvolture déconcertante sur les vagues de la schizophrénie. Que doit-il aux générations futures ? Un grand respect. Que leur en a-t-il donné ? Rien ! C’est de la pure traitrise de sa part.
Il est vrai qu’à analyser froidement la complexité qui sous-tend la météo des compagnonnages politiques, on peut lui reconnaître le droit d’être mécontent, d’en vouloir de temps à autre à des militants de la 25e heure, et même de lustrer, avec un brin d’ostentation, les traces de son adhésion suicidaire à l’idéal politique du "Macky", à un moment où c’était encore si peu évident d’afficher sa proximité avec le futur choix des Sénégalais. En revanche, nous ne pouvons absolument pas valider ce choix délibéré de profiter du lâche confort qu’offre la libre expression sur la Toile pour casser des fosses septiques sur des identités partisanes remarquables, fussent-elles celle d’un... " Fourberie" NGOM.
Cissé LO, à n’en pas douter, est allé trop loin. Il a manifesté la même boulimie transgressive que les Surréalistes, qui osèrent proclamer, dans les années 20, le "crépuscule des Idoles ", en ces termes : " Nous voulons tout, et le reste". Et si lui, "El Pistolero", faisait partie de la race des têtes brûlées capables de se surpasser pour entendre raison en ces moments sombres où sa langue trop mal sculptée par le Diable se dresse rageusement contre le flanc le plus éclairé de notre conscience collective, nous lui aurions rappelé que toute la pyramide de sacrifices qu’il déclare avoir consentis pour le " Macky" ne résiste pas à ce monstrueux orage d’insanités contre-saison qu’il s’est permis de déverser sur la Rue publique. Car, de toute façon, l’homme Macky qu’il a vaillamment soutenu à sa démission fracassante du PDS en 2007 est " mort". Celui devenu président de la République l’a " tué". Et on ne doit pas chercher à prendre en otage un chef de l’État. Fut-il ce garçon morveux avec qui vous avez usé vos culottes sur les bancs de l’école.
njaydakarposte@gmail.com